Ed Brubaker en indé’ : portrait d’un géant du polar en comics, avec Antoine Boudet

Quoi, que, hein, comment ? Un podcast de 2h40 sur Ed Brubaker, et particulièrement sa carrière en creator owned ? Mais non, vous ne rêvez pas, c’est bien un épisode thématique sur First Print ! Teasé depuis longtemps, le format fait son retour aujourd’hui pour votre plus grand plaisir !

Un amour de Brubaker

On essaiera désormais d’être plus régulier dans des épisodes « à part » de nos séries régulières, pour aller se pencher sur des angles, sur des auteurs ou des oeuvres, et aller dans le fond du fond au cours de nos discussions. Pour commencer, difficile de ne pas vous parler d’un auteur Ô combien important pour les comics, et c’est donc Brubaker qui passe à la loupe du vaillant Corentin, avec l’invité exceptionnel que nous avons avec nous, fan et connoisseur de l’auteur, qui l’a d’ailleurs même interviewé, j’ai nommé Antoine Boudet alias Bigor. Une discussion à savourer (d’un coup ou en plusieurs temps), qui vous donnera encore plus d’envies de lectures que vous n’en avez déjà.

Et si notre travail vous plait, n’hésitez pas à nous le dire, à nous faire part de vos envies sur les thématiques (quels thèmes, quels auteurs, quels comics ?), et à soutenir nos émissions en les partageant à fond à fond ! Très bonne écoute et à bientôt pour la suite de nos podcasts !

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Commentaires

  1. Je n’ai jamais lu de Ed Brubaker, son oeuvre semble tellement colossale que ça fait un peu peur.
    Il faudra que je me lance un jour.

    • il faut juste commencer par l’une des séries, puis après par une autre
      Au contraire, il ne faut pas en avoir peur. Faut juste se lancer

  2. Brubaker et moi, c’est assez étonnant comme histoire.

    A la base, je suis un gros fan de polar, en particulier l’école américaine. Ma rencontre littéraire avec James Elroy lors de mon adolescence m’a marquée au fer rouge à jamais et j’ai en très haute estime sa trilogie Underground, qui part de la fin des années 50 jusqu’aux début des années 70 et traite pêle-mêle la baie des Cochons, l’assassinat de Kennedy, les affaires de la CIA pendant la guerre du Vietnam, la mafia, John Edgar Hoover. Un cadre qui doit probablement aussi beaucoup plaire à Brubaker. J’aime également des auteurs comme Denis Lehane ou James Lee Burke, qui ont également une vision très réussie du polar.

    Bref, tout ça pour dire que la logique voulait que je me jette sur les œuvres de Brubaker. Il n’en a rien été.

    Je ne me l’explique pas, si ce n’est peut-être qu’il ne m’avait pas forcément fait forte impression sur, sans doute, un de ses pires travaux mainstream, The Authority : Revolution. C’est en tout cas là que j’ai rencontré pour la première fois Ed Brubaker.

    Ensuite, j’ai lu un peu de son Captain America et surtout Gotham Central. Il m’avait fait bonne impression sur ces deux œuvres, mais je n’ai pas poussé plus loin. Là encore, j’ai fait d’autres choix à l’époque et, avec le recul, il faut croire que j’ai cloisonné les choses : le polar, c’était les romans; les comics, c’étaient autre chose. Raisonnement idiot, mais peu conscient à l’époque.

    C’est grâce à vous que je suis revenu lire du Brubaker, grâce à votre Back Issues sur « Un été cruel ». C’est par ce volume que je suis rentré dans son univers polar et j’ai adoré. Depuis, j’ai enchaîné, au rythme des (ré)éditions de Delcourt : Fatale, Velvet, Criminal, Reckless, Pulp…

    Toutefois, à l’écoute de votre podcast, j’ai eu une drôle d’impression, car quand j’ai lu Un été cuel, je ne connaissais rien à la série Criminal. Du coup, quand j’ai redécouvert la série par le tome 1 de l’intégrale sortie en juillet, cela a été une tout autre lecture. Comme si certains repères avaient changé. Cela n’enlève cependant rien à sa qualité intrinsèque et, même si je n’ai pas encore tout lu, Criminal reste assurément un chef d’œuvre.

    En tout cas, votre podcast vient en quelque sorte fermé la boucle pour moi : c’est grâce à vous que je me suis mis à relire du Brubaker et votre travail sur cette épisode vient dresser un portait complet de cet auteur qui est devenu phare pour moi. N’en doutez pas : votre travail permet assurément de faire découvrir d’excellentes bd US à d’autres personnes !

    Personnellement, et pour finir, j’avoue avoir un gros faible pour Reckless. Je n’ai lu que les deux premiers tomes, mais je trouve que Brubaker arrive à convoquer dans le personnage d’Ethan Reckless la synthèse de toutes les obsessions qui l’animent depuis de nombreuses années. Toutefois, je me suis fait la réflexion que Scène de crime, que j’ai lu après Reckless, était en quelque sorte le squelette de ce qui serait plus tard la série Reckless. Le tome 2, l’Envoyé du Diable, a une intrigue très proche de celle de Scène de crime. Mais peut-être l’avez vous dit dans le podcast car, dernière confession, lorsque j’écris ce (trop long) texte, il me reste 40 minutes encore à écouter.

    Merci encore ! Et j’espère vraiment qu’il y aura d’autres podcasts thématique sur des auteurs emblématiques. Personnellement, je suis un fan absolu de Grant Morrison, alors, sait-on jamais ?

  3. Comme déjà dit sur les réseaux, j’ai adoré ce format, j’en suis à plusieurs écoutes déjà. C’est du petit lait clairement. Merci à vous.
    En suggestion pour d’autres auteurs, ouais Jeff Lemire suis chaud mais s’il fallait en citer un autre je dirai Garth Ennis

  4. Je n’ai pas encore eu le temps d’ecouter, mais je proposerai dans la liste des disparus récents Darwin Cooke, John-Paul Leon ou Alan Grant, voire même les plus connus mais moins productifs avant leurs décès George Perez ou Neal Adams.

    Il pourrait y avoir des acteurs peu «reconnus» comme les coloristes Dave Stewart ou Jordie Bellaire, ou le dessinateur/encreur klaus janson.

    Un pour montrer que Mignola, ce n’est pas que hellboy.

    Un arc ou run comme le green lantern/green arrow de o’neil et adams, thor de aaron, hawkeye de fraction et aja, les dd de miller ou nocenti/romita j…

    Les grands anciens comme ditko, romita senior, ou un peu moins comme claremont, byrne ou starlin…

    Enfin, les plus nouveaux comme tynion 4 ou ce qu’a déjà produit aaron, encore lui.

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