Un nouveau rendez-vous du format SuperFriends est à découvrir dès à présent ! Une fois n’est pas coutume, nous quittons les intervenants anglophones le temps d’un podcast pour parler de création originale bien de chez nous, mais publiée chez un éditeur dont nous avons déjà eu le plaisir d’accompagner les publications : Komics Initiative. Aujourd’hui nous avons l’immense plaisir de recevoir Rurik Sallé, ancien journaliste passé entre autres chez Mad Movies, aujourd’hui auteur, acteur et musicien, qui vient nous présenter Seule l’Ombre. Au programme : des frissons, beaucoup de frissons – et des digressions !
L’ombre qui attend tout le monde au tournant
En compagnie d’Eric Corbeyran et de Paskal Millet, Rurik Sallé est à l’initiative des histoires qui composent le recueil horrifique Seule l’Ombre, un ensemble de petites histoires qui s’intéresse à ce qui se cache – ou plutôt, pourrait se cacher – à chaque fois que l’obscurité survient. Un trou dans un chantier, une rame de métro dont l’électricité est coupée, les recoins d’une forêt, ou simplement l’arrière d’une banquette arrière de voiture la nuit : l’ombre est partout, et personne ne pourra y échapper. Avec un ensemble de récits qui se situent d’ailleurs tous en France, Seule l’Ombre est une nouvelle exploration de la peur en bande-dessinée, et on est ravi d’avoir pu en discuter en long et en large avec Rurik Sallé !
Comme toujours, on espère que les podcasts SuperFriends que nous enregistrons vous plaisent et si c’est le cas, il faut le faire savoir, tant pour le podcast que pour les personnes qui y passent. Parlez-en autour de vous, partagez sur les réseaux sociaux, et n’hésitez pas à contribuer à notre Tipeee ! Très bonne écoute et à bientôt pour le prochain podcast !
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Même si il n’y avait que Rurik Sallé au micro, on sent qu’ils sont super proche, la blague sur la longueur m’a pris de court Haha.
Super de partager les pitch aussi ^^.
Sinon quand on fait des histoires anthologiques j’ai l’impression qu’on en laisse de côté si elle sont de trop ou pas assez aboutis. Faire d’autres volumes me parait faisable.
Quand il m’a dit « ha elle est pas mal celle là » après la vanne des pitchs j’ai intérieurement jubilé ^^