HiComics : bilan 2024 & perspectives 2025, (une dernière fois) avec Sullivan Rouaud [SuperFriends]

La tournée des éditeurs de comics en France continue, dans le cadre de notre vaste série thématique « bilan 2024 & perspectives 2025 » ! Et nous avons le plaisir de retrouver une fois de plus un invité régulier de nos podcasts en la personne de Sullivan Rouaud, afin de faire le point sur 2024 du côté d’HiComics, et aborder le planning de l’année en cours. Un podcast sur lequel Sullivan sera d’ailleurs le dernier intervenant pour HiComics.

Au revoir, mais surtout : à bientôt ?

C’est en effet dans ce podcast que Sullivan nous fait ses adieux en tant que directeur de collection chez Bragelonne, mettant fin à ses activités salariées chez HiComics – et par extension également chez Mangetsu. La nouvelle a été faite par l’intéressé sur ses réseaux sociaux, et nous en avions la primeur au cours de cette émission, enregistrée tout juste en amont du FIBD. Il ne s’agit néanmoins pas du thème central, et beaucoup de choses seront abordées au sujet d’HiComics dans une émission pas forcément la plus agréable pour notre invité, mais qui permet de dire les choses. Nous ne doutons pas de retrouver Sullivan dans notre podcast plus tard, dans un autre rôle, qui sait ?

Si vous appréciez ce podcast et l’ensemble de nos travaux, il est important de le faire savoir, en partageant l’émission sur nos réseaux sociaux, en en parlant autour de vous, ou en nous soutenant via notre Tipeee. Merci à toutes et tous de votre écoute, et à bientôt pour le prochain podcast !

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Commentaires

  1. J’ai écouté le podcast dès qu’il a poppé dans mon appli donc sans contexte. À l’écoute, je me disais qu’il était courageux de parler comme ça que c’était un coup à se faire virer.^^
    Je comprends les raisons de son départ, déjà l’année dernière tu sentais que ça le gonflait. Dommage, on sent sa passion pour le boulot et les artistes.

    Merci pour toutes ces interviews. Chaque éditeur a vraiment son ton et son approche.

  2. Les prix et l’inflation ce n’est pas un problème d’accès à la culture, ou de contexte économique. Les dividendes des grands groupes montent, les salaires non. Ce sont des choix politiques, qui vont tous dans le sens de l’intérêt d’une classe dominante.
    Si tout est trop cher, parce qu’il n’y a pas que les comics, c’est que votre force de travail est la seule marchandise qui ne vaut pas cher. Vous la vendez pas cher, alors que le travail cumulé de tous est ce qui crée la valeur. Ils vous vendent tout le reste trop cher, alors que rien n’est produit sans le travail cumulé.
    Au minimum, il faut se battre sur les salaires plutôt que se plaindre des prix.

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