Présenté initialement en 2015 au Comic Con Paris, le film Comment je suis devenu super-héros, disponible depuis le 9 juillet 2021 sur la plateforme Netflix, a connu un parcours un poil compliqué. Pas tant dans la production en elle même, qui a malgré tout duré quelques années. Mais parce que le film devait sortir à la base à l’automne 2020, et qu’une certaine crise du coronavirus a tout fichu en l’air. Après plusieurs décalages de sortie du côté de Warner Bros., cette production française trouve refuge sur le géant du streaming. Dommage pour la sortie cinéma, mais une opportunité pour le réalisateur, Douglas Attal, de faire connaître sa production à un public international.
Des super-héros à la française
Douglas Attal, justement, nous l’avions reçu il y a peu de temps pour discuter avec lui et l’actrice Vimala Pons de son film – l’interview est à retrouver par là, c’est tout quali. Aujourd’hui, on se retrouve pour un format « On Screen« , afin de débriefer le film en petit comité, avec l’ami Corentin, bien sûr, mais aussi Aristide (ou Ari) gentiment venu nous prêter main forte. De quoi faire le point sur les nombreuses qualités, mais aussi les imperfections d’un premier film, qui a trouvé chez nous un fort capital sympathie. Et de se demander si une suite à Comment je suis devenu super-héros pourrait bien voir le jour… On parie ?
On espère en tous les cas que ce podcast sur Comment je suis devenu super-héros vous plaira. N’hésitez pas à nous faire part de votre avis sur le film dans l’espace commentaires ou sur les réseaux sociaux, et de partager le podcast pour faire découvrir le média au plus grand nombre ! Merci d’avance, et bonne écoute !
- Aristide tient le podcast Perf’Historique, une émission qui parle d’histoire dans le sport, et de sport dans l’Histoire. A retrouver par ici !!
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Le film était assez agréable à regarder. Ya juste 2 points qui m’ont un peu coupé dans le film. La juste de la policière parce qu’elle est aveuglé qui avait aucun sens. Et j’avais l’impression que la drogue n’avait pas de côté négatif. Ceux qui en prenaient n’avaient pas de contre coup ou d’addiction. Et je ne vois pas l’intérêt de l’utiliser pour les méchant à la fin si ses effet ne sont pas plus puissant qu’une arme à feu.
Sinon les personne et l’histoire étaient en général bien écrit.
Je vous trouve, ainsi que la majorité des critiques lues ici ou là, très bienveillants avec ce film… Je m’attendais à autre chose, vu votre verve habituelle… J’ai trouvé ce film clairement quelconque.
Pour la colorimétrie, les couleurs étaient bien plus flashy sur les affiches… Je pense que c’est plutôt mieux pour le film mais alors pourquoi en rajouter dans la promo ? (Monte Carlo son costume est rouge sur la plupart des photos…)
Compte tenu de la place du genre en France, du process de prod’, et du résultat final vis à vis de ce que peuvent faire les ‘ricains, j’ai pas de problème à être « bienveillant ». Mais en ce qui me concerne, c’est un sentiment 100% honnête, j’ai vraiment aimé ce film (et sûrement plus que Corentin d’ailleurs). L’avantage de faire l’animateur ici.
Je comprends bien le process mais pas vraiment la finalité… Pas grave… J’ai pas envie de tailler le film plus que ça je suis juste étonné de la positivité ambiante. 😉
Un peu partagé sur le film, j’ai passé un bon moment mais il est rempli de clichés qui à chaque fois me ressortaient du film dès que j’arrivais à rerentrer dedans. Le flic cassé, le nouveau partenaire, au premier flashback on se doute qu’il est « unique »… La liste est beaucoup trop longue …
Mais j’ai quand même apprécié et je suis même curieux d’en apprendre plus sur cet univers qui a des choses à dire, la séquence sur écoute va plutôt dans ce sens avec de bonnes idées.
La grosse déception reste Vimala Pons, personnage qui semble assez prometteur au début puis sans développement qui se transforme en love interest banal, après ses 2/3 punchlines elle court juste après Pio. J’adorerai voir un Gotham Central dans cet univers !
Bon podcast, bon world press, merci pour votre super boulot !