Bonjour et bienvenue dans le troisième épisode de la maxi-série « Une année avec les auteurs Urban Comics 2023 », notre première collaboration réalisée avec la maison d’édition française. Chaque épisode vous permettra d’aller à la rencontre de l’oeuvre d’un auteur mis en avant par Urban Comics, en explorant à la fois ses écrits en mainstream chez DC Comics et ses titres en creator owned. La nature de cette collaboration nous permet d’avoir le temps et les moyens de vous proposer cette interview – format « SuperFriends – intégralement doublée en français. Nous vous souhaitons une bonne écoute et serons preneurs de tout votre soutien, vos partages et vos retours !
Pour ce troisième numéro, nous avons l’immense plaisir d’accueillir Geoff Johns dans le podcast ! Auteur illustre du DC Comics des années 2000 et 2010, Johns s’est imposé comme un architecte de l’univers DC en bâtissant des runs cultes sur la JSA, Green Lantern ou The Flash, tout en enchaînant les events tels que Infinite Crisis ou Flashpoint. On lui doit d’ailleurs avec cet event le point de départ du reboot des New 52 de 2011, mais aussi le relaunch DC Rebirth de 2016 qui a mêlé, entre autres, l’univers DC à celui de Watchmen. Aujourd’hui, après une période passée du côté des films et des séries, Johns revient à l’écriture, avec Flashpoint Beyond et une nouvelle série JSA pour DC. Il a aussi créé son univers en creator-owned du côté de Image Comics avec Gary Frank et les séries Geiger et Junkyard Joe. Tout ceci sera abordé au cours de cette émission, et on vous souhaite une belle écoute. Si le travail fourni vous plaît, il sera vital de partager ce podcast !
Le Programme
- Débuts chez DC, Flashpoint et poids de la continuité – 03:10
- Rebirth, optimisme et Watchmen – 26:30
- Retour à l’univers Flashpoint et à la JSA – 36:30
- The Unnamed, et la création d’un nouvel univers en indé’ – 44:20
Le doublage !!! La classe ! 😉
Encore bravo pour tout – peace
Je pense que Goeff Johns est un bon auteur mais un moment il a eu trop à faire pour trop peu de temps. Ils se reposaient trop sur lui. J’espère que son aventure indé lui ferra du bien.
C’est l’éditeur qui vous impose le temps de l’interview ou c’est que ce sont des auteurs qui ont pas trop le temps ? Par ce que chaque sujet abordé pourrait être une interview / un podcast en soit.
C’est un peu des deux ; d’une part plus ça dure longtemps plus ça représente du travail pour nous aussi – et donc la facture augmente et l’éditeur n’a pas un budget illimité (même si on est grave pas chers haha). Mais ça dépend aussi de l’emploi du temps de l’interviewé ; là en l’occurrence Johns avait un rendez-vous juste après (et tu te doutes que c’est quelqu’un de trèèèèès occupé) donc oui j’ai essayé de brosser large, même si on pourrait évidemment passer 2h sur chaque partie (ça me frustre aussi, mais je suis déjà content qu’on ait pu faire ça ^^)